mardi 11 décembre 2007


Citoyenneté


Les États-Unis

Je suis d'accord avec cette idée qui défend que l'Amérique est le gendarme du monde. Elle pren en compte, surtout, ses objectifs et ses idéaux sans, beaucoup de fois, tenir en compte les lois internationales. Ceci montre en total manque de préoccupation envers les interêts communs, l'harmonie et la coopération que les nations défendent. Les États-Unis veulent dominer le monde, dominer l'économie mondiale. Mais, pour atteindre ce but, ce pays a, par exemple, rejeté l'accord de Kyoto.
L' Amérique est un pays avec ses points de vue très claires et bien déterminés. Et elle parvient à les atteindre, je ne sais pas si c'est à cause de son influence et son pouvoir économique.
Les Étast-Unis dominent le marché économique ce qui leur donne tant d'individualité et d'unilatéralisme. Le gouvernement américain se préoccupe, obsessivemente avec la sécurité nationale, mais il est le premier à promouvoir l'insécurité internationale.
Je n'aime pas l'Amérique, particulièrement, et j'ai peur que le nouvel ordre mondial s'affirme d'une façon tellement forte que notre Europe se laisse dominer par les interêts américains.

Forum Social Mondial

Le Forum social mondial ou FSM est un forum altermondialiste, qui se tient annuellement à Porto Alegre, dans l'État du Rio Grande do Sul, au Brésil, (sauf en 2004 en Inde, le forum polycentré de 2006 et en 2007 où il s'est tenu à Nairobi du 20 au 25 janvier 2007). Ce forum se présente, de par sa dénomination, comme une alternative sociale au Forum économique mondial, qui se déroule chaque année en janvier à Davos en Suisse.Il a pour but de faire se rencontrer des organisations citoyennes du monde entier pour élaborer une transformation sociale du monde. Le slogan est « Un autre monde est possible ».

Pour un monde plus juste...

Notre monde est malade Il faut le soigner. Un homme comme Bil Gates serait une des personnes les plus indiquées pour être son médecin.
Il pourrait fournir des vaccins et des médicamentes aux pays pauvres d'Afrique, d'Asie et d'Amérique du Sud afin de les aider à combattre la précarité de santé dont ils souffrent. Des aliments seraient une autre mesure à prendre, une autre condition à donner à ses personnes pour qu'il soit possible qu'ils se nourrissent afin d'avoir des forces pour travailler et gagner leur vie. L'éducation, un autre domaine sur lequel il faut parier. Un grand nombre d'enfants de ces pays n'a aucun accès à l'école parce qu'il doit travailler pour soutenir sa famille.
Pour moi, ce sont les points le plus importants à changer, et l'argent peut considérablemente aider.

Abolissons la pauvreté


En ce début de XXIe siècle, 1,2 milliard de personnes vivent dans la pauvreté extrême. Plus de 800 millions de gens se couchent chaque soir le ventre creux et 50 000 meurent chaque jour de causes liées à la pauvreté.
La pauvreté existe en raison des choix que l'on fait. En d'autres mots il y a :
une aide insuffisante et inefficace;
un régime de commerce international injuste;
un énorme fardeau de la dette des pays pauvres qui anéanti toute chance de se relever;
un manque de volonté d'investir suffisamment dans le développement social.

Pourtant, il n'y a rien là d'inévitable.
Nous pouvons abolir la pauvreté. Nous le pouvons si nous avons la volonté d'agir.
Il y a plus de cinq ans, tous les membres des Nations unies ont adoptés les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) et ont convenu alors de viser des objectifs minimaux, dans le but de réduire la pauvreté, la faim, l'analphabétisme, la discrimination à l'égard des femmes et la dégradation de l'environnement d'ici à 2015.

Mais les choses n'avancent pas assez vite. Au rythme actuel, il sera impossible d'atteindre ces objectifs. Et ce sont les pauvres qui écoperont.C'est le moment d'agir concrètement. En 2005, plusieurs pays ont lancé des campagnes visant à éliminer la pauvreté. Si toutes les personnes qui réclament l'élimination de la pauvreté le font en même temps, les décideurs seront obligés d'écouter.

Nouvel Ordre Mondial

L'expression "le nouvel ordre mondial" désigne par définition l'alignement idéologique et politique des gouvernements et organismes mondiaux, en opposition à l'ancien ordre mondial; les choix et idées des dirigeants mondiaux d'avant les derniers grands changements, avant la dernière grande guerre par exemple. L'ordre mondial est un concept plus ou moins fixe, qui est en constant changement. L'ancien ordre mondial a déjà été nouveau, tout comme l'actuel vieillira.
Mais le nom "Nouvel Ordre Mondial", "New World Order" en anglais, ou "Novus Ordo Seclorum" en Latin, signifie bien d'avantage que l'alignement mondial actuel et apparent. Il identifie une doctrine idéologique et politique précise progressant depuis longtemps : le communisme global ou, dit autrement, l'effort pour la mise en place d'un gouvernement mondial.
Bien que le terme ne désigne pas directement une organisation reconnue, il pointe bel et bien vers le pouvoir en place, mais souvent celui qui se trouve derrière les rideaux, loin des feux de la rampe. Il s'agit de gens de tous les domaines de l'élite, qui croient en la supériorité absolue de certaines idées sur d'autres, de même qu'au droit des "plus forts" de diriger et de choisir pour tous.
De l'aveu même des individus adhérant à cette philosophie élitiste, les dirigeants doivent maintenant choisir pour le futur : choisir d'établir un ordre qui sera facile à gérer, qui sera rentable, et où bien sûr ils se réservent le pouvoir. Tous les dirigeants savent que ceci leur sera profitable, et que seul un changement majeur et radical dans la pratique de la politique sur cette planète peut empêcher cette instauration. La disparition de la dualité politique mondiale de type communisme vs capitalisme mène inévitablement vers cette globalisation et assimilation de la culture, des politiques, et pire, des idées. Certains citoyens ont d'ailleurs déjà pris position contre une petite facette de cet élitisme, la mondialisation.
Mais l'instauration d'une politique globale laisse planer des dangers encore pires que la "globalisation des marchés", surtout que contrairement à ce qui nous est montré du processus de mondialisation, il ne s'effectue pas avec les lois du libre marché capitaliste, mais plutôt avec des structures de lois de type communiste.
En d'autre terme, la mondialisation actuelle est effectuée dans le but de nous amener dans une structure où le gouvernement a le pouvoir sur les individus, plutôt que dans une structure où les individus ont le pouvoir sur le gouvernement, tel que proclamé et défendu par les Patriotes, qu'ils aient été Américains ou Québécois.
La concentration actuelle de gens au pouvoir partageant cette idéologie est particulièrement alarmante, et nous amène à réfléchir sur la véritable nature du système politique dit "démocratique". Les changements actuels dans les législations des pays pour s'uniformiser entre eux se font au détriment des droits civils et humains, alors que la globalisation augmente, en même temps que les profits et le pouvoir pour l'élite.
Presque toutes les organisations internationales ou nationales servent maintenant les intérêts d'un Nouvel Ordre Mondial. Les gouvernements nationaux eux-mêmes, l'Union Européenne, l'OTAN, le G7, le G8, le G20, le Quartet, le FMI, la Banque Mondiale, et bien sur l'ONU et ses filiales (et de nombreux autres), sont tous des outils de cette uniformisation, qui nous habituent peu à peu à une structure où un pouvoir central prend une décision, qui devient dès lors inévitablement applicable et effective sur l'entière surface du globe, sans possibilité de "recours".
Les 5% de gens détenant 95% des ressources ont des intérêts politiques bien différents des 95% de gens détenant le dernier 5% des ressources. C'est dans cette optique que désire s'instaurer le futur ordre mondial, le gouvernement global.
Autour des tables rondes du pouvoir, on en est à cette page de l'agenda depuis des siècles. Derrière les portes closes, l'élite planifie une structure qui permet et permettra, grâce à la guerre, l'inflation, le terrorisme et d'autres variables créées de toutes pièces, d'assurer les profits et le pouvoir à ses descendants. Mais à quel prix pour nous?

in http://www.evolutionquebec.com/site/nom.html

lundi 10 décembre 2007

Femmes et Hommes


Contexte

L’égalité entre les femmes et les hommes est un principe fondamental de l’Union européenne reconnu comme tel dans la Charte des droits fondamentaux signée à Nice le 7 décembre 2000. Mais bien avant 2000, le traité de Rome (1957), notamment dans son article 119, annonçait déjà l’importance et la place de l’égalité entre les femmes et les hommes dans le processus de construction de l’Union européenne. La déclinaison de cet article sur le plan national a donné naissance plusieurs lois, notamment la loi Roidy de 1983 sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes qui actualise et renforce la loi de 1972 garantissant l’égalité de rémunération quel que soit le sexe, la loi Génisson de 2001 qui affine notamment les critères pour établir le bilan annuel comparé de situation entre les femmes et les hommes dans les entreprises, et la loi de juin 2000 sur la parité tendant à favoriser l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives. Cependant, malgré cet arsenal juridique en faveur de l’égalité des sexes, les inégalités entre hommes et les femmes persistent.

Dans le domaine économique

Malgré l’incontestable féminisation de la population active, les femmes connaissent encore un taux d’activité nettement inférieur à celui des hommes, alors qu’elles représentent 51,4% de la population française selon l’enquête de recensement 2004 de l’INSEE. Quelques chiffres concernant l’emploi (Source : Chiffres clés de l’égalité entre les femmes et les hommes - Ministère de la Parité et de l’Egalité professionnelle - 2005) elles perçoivent un salaire en moyenne 21 % de moins que les hommes. elles subissent massivement le temps partiel : 29,8% de femmes actives à temps partiel le taux de chômage au sens du BIT des femmes est de 10,9 %, celui des hommes de 8,9 %, en mars 2004. elles représentent 47,5% des demandeurs d’emploi de catégorie 1, 53,9% des demandeurs d’emploi de longue durée, alors que seulement 45,9 % des actifs sont des femmes. Leurs choix professionnels sont "balisés" : 60 % de femme exercent dans 6 groupes de métiers, alors qu’il en existe plus d’une trentaine : 80% des métiers d’employés sont occupés par des femmes.

Sur le marché du travail, les femmes n’occupent que de façon très minoritaire des postes à responsabilité. En 2004, seulement un quart des postes d’encadrement des entreprises du secteur privé étaient occupés par des femmes, alors qu’elles représentent 45,9% de la population active. Parmi les 300 000 dirigeants salariés d’entreprises, seules 17% d’entre eux sont des femmes. Elles ne constituent que 7% des cadres dirigeants des 5000 premières entreprises françaises.

Dans le domaine politique

En politique, le principe de parité inscrit dans la loi en 1999, offre des résultats très contrastés selon les modes de scrutins. En 2002 l’Assemblée nationale comptait à peine 12,3% de femmes députées. En 2004, le Sénat comptait 16,9% de sénatrices alors que les femmes représentent 51,4% de la population française.

Toutefois, en ce qui les élections locales, l’application de la loi sur la parité a permis une augmentation sensible du nombre des femmes élues locales, notamment au niveau des conseils régionaux et des conseils municipaux. En mars 2004, 47,6% des conseillers régionaux élus sont des femmes ; soit presque deux fois plus qu’en 1998. En 2001, 47,5% de personnes élues conseillères municipales étaient des femmes contre 25% en 1995, soit une progression de 22 points.

En revanche, l’élection des maires par les conseils municipaux échappant à toute contrainte législative, le nombre de femmes élues maires reste très faible : en 2004, la France ne comptait que 173 femmes maires. Ce qui représente 6,7% de l’ensemble des maires des communes 3500 habitants et plus.

Amnistie Internationale